giovedì 26 giugno 2008

Résolution de l'énigme numéro 1


La seconde bonne réponse à l'énigme que je vous proposais est arrivée sur le bloggue, venant du même commentateur; grâce à mes qualités d'enquêtrice (eh bien? Un bloggue n'est-il pas fait pour se faire mieux connaitre ?!) j'ai découvert son identité sur un réseau qui nous est commun - et qui d'ailleurs, jusqu'à présent (soupir!) fournit trop peu de visiteurs à ce site. Ce jeune hercule aime la boxe (et sans doute pratique ce noble art) et, ne négligeant ni la peinture néo-classique ni l'opéra pré-romantique, bouscule ironiquement quelques idées reçues. J'ai trouvé d'autres réponses dans mon courriel, les unes correctes (pas beaucoup) les autres... désolantes. Ah! N'en parlons pas! Je me croyais entourée de lumières (je veux dire de savants) et en réalité autour de moi ce n’est qu’obscurité… On verra avec la prochaine énigme, plus difficile selon moi.

Assez gémi ! J’avoue que tout n’est pas triste dans l'état de bloggueuse : j'ai bien ri à la lecture de certains messages. J'ai choisi d'ignorer l’excessive prudence de ceux qui m'ont répondu en privé, et ne vous livre que la réponse qui fut hier, à 20h38, postée ici même par Christophe:

"La référence à Zaïre est évidemment trompeuse, mais intéressante, car on y retrouve donc facilement de qui est le portrait... Giuseppina Grassini. Et l'œuvre s'intitule donc "Giuseppina Grassini dans le rôle de Zaïre" peint en 1804 (1805 selon certaines sources...)"

Joli, n'est-ce-pas ? La réponse est d'autant plus intéressante qu'elle fait allusion à la question de la datation du tableau (et indirectement au problème de la datation de l'opéra Zaïre) sur laquelle je comptais poster un texte.

Le second commentaire... pas de commentaire ! (une douce bise).

Et maintenant que posterai-je ?
Avant de retourner à Elisa, j'ajouterai quelques lumières aux obscures clartés qui environnent ce portrait de Giuseppina Grassini. Je me trouve maintenant dans la situation d'un conteur oriental: je vous ai proposé une énigme, vous l'avez résolue, mon devoir est de vous en raconter l'histoire, et les histoires dans l'histoire, et les histoires dans les histoires dans l'histoire. Par où vais-je commencer ? Et comment dénouer les noeuds qui enserpentent tous les liens entre les personnages ?

Et l'image en tête de cette poste ?
C'est "le Couronnement du buste de Voltaire par les actrices et les acteurs de la Comédie Française le 30 mars 1778" (à la fin de la sixième représentation d'Irène, autre drame sanglant de Voltaire!). C'est un travail de gravure d'un raffinement incroyable de Charles-Etienne Gaucher, exécuté à partir d'un dessin de J.M. Moreau dit "le Jeune". La prochaine fois j'en publierai un détail charmant (un conseil: ne croyez pas trop à mes "la prochaine fois" car je pourrais bien en être détournée par d'autres idées ou projets relatifs à ce blog). Dans la version italienne de cette poste (supra) vous en voyez une version ironique et anonyme: le couronnement du vieux poète par Arlequin, témoignage de la guerre qui opposa pendant près de deux siècles à Paris les deux troupes des Comédiens Français et des Comédiens Italiens.
Cette image symbolise mes louanges à Christophe ? Non, elle préannonce ma prochaine poste sur la Zaïre de Voltaire (il faut bien commencer par quelque chose).
Votre C.
Poste-scriptum 1 (eh, oui ! vous avez remarqué ? j'invente des mots !) : ..."les obscures clartés", vous vous souvenez ? C'est de... ? De...? De de Corneille, Pierre (comme on dit dans les administrations). Pierre de Corneille ! Mais bien sur ! Oui... mais encore ?C'est le début du récit de la bataille que le Cid remporte sur les ennemis de sa patrie; historiquement, heum, bon, y'aurait de quoi dire... mais poétiquement, musicalement ! Pour celles et ceux qui, comme moi, à travers les années douces ou âpres ont senti au moins une fois en eux, comme un écho, comme une vague, battre le tambour de ce récit de sang et d'effroi, voici quelques vers :

...Cette obscure clarté qui tombe des étoiles,
Enfin, avec le flux nous fit voir trente voiles,
L'onde s'enfle dessous et, d'un commun effort,
Les Mores et la mer montent jusques au port.
On les laisse passer; tout leur paraît tranquille...

(Le Cid, vers 1273 à 1277)

Et pour qui voudrait retrouver toute la tirade, et tous les Cid de notre adolescence avec le souvenir de Gérard Philipe, voir dans la colonne de gauche, la media-bibliothèque que je lui consacre.
Poste-scriptum 2 : pour illustrer la version italienne de cette poste j'ai inséré supra une gravure qui date de mars 1778; elle représente le même évènement dans une version ironique qui explique l'anonymat de l'auteur (Voltaire avait des ami puissants). Sous la scène, réduite au buste du vieux philosophe entouré de trois comédiens italiens, ces deux vers:

"Il est beau de la recevoir
Quand c’est Arlequin qui la donne."

il s'agit de la couronne de laurier bien sur... une allusion critique à la présence de divers membres de la noblesse (parmis lesquels le jeune comte d'Artois, frère du roi, futur Charles X) lors de ce couronnement symbolique. La gravure est aussi un document de la guerre impitoyable qui opposa pendant près de deux siècles la troupe de Comédiens Italiens à celle des Comédiens Français; un conflit qui prendra fin dans le tohu-bohu révolutionnaire avec la supression des monopoles de ces troupes en la matière et l'ouverture de nombreux théâtres (mais pas la supression de la censure...).

martedì 24 giugno 2008

Une demi-réponse...


Marie Elisabeth Louise Vigée-Lebrun - Autoportrait

Aujourd'hui, à 18:00 PM (je me sens le devoir d'ètre exacte) une timide réponse est parvenue sur le blog, rédigée en ces termes:
Hum... Je dirais Élisabeth Louise Vigée-Lebrun, non ?
Comment "non"? Oui. Bravo.
On a le nom du peintre ...et le sujet de l'oeuvre ? Qui est-ce ? Quel est son nom ?
Comme il est facile, à ce point, de comprendre que l'oeuvre représente une artiste de la scène, j'ajoute qu'il s'agit d'une cantatrice (mon allusion à Zaïre était un piège; il ne s'agissait pas de la pièce de Voltaire mais d'une oeuvre lyrique). Mais ce n'est pas "la signora Banti, petite insolente, ignorante et stupide" comme l'écrit Lorenzo Da Ponte dans ses mémoires, faisant allusion non plus au physique mais au caractère de cette disgracieuse diva (Ne serait-ce pas la Banti ? autre piège dans lequel quelqu'un(e) n'a pas manqué de tomber). Votre C.


Una mezza risposta...

Oggi alle ore 18:00 PM (sento il bisogno di essere precisa), une timida risposta mi è pervenuta sul blog; la traduco e comunico (nel caso non foste ancora in grado di aprire la casella “commenti” a piè di post):
Hum… direi Élisabeth Louise Vigée-Lebrun, no ?
Come “no”? Si. Bravo.
Abbiamo dunque il nome del pittore… e quello della persona dipinta ? A questo punto avrete capito che si tratta di un’artista della scena. Quale scena ? La scena lirica, operistica. È una cantatrice – una virtuosa del canto si diceva. Questo mio alludere a Zaïre era una trappola: che l'unica Zaire conosciuta rimane quella teatrale, scritta da Voltaire. Invece in questo caso la nostra cantante indossava le vesti dell’interprete principale di un’opera lirica eponima (completamente dimenticata, e però, però…) creata nel 1804.
Non si tratta della Banti “questa femminaccia ignorante, sciocca e insolente” (riuniva, si capisce, molte qualità) come scrive Lorenzo Da Ponte nelle sue Memorie (che si trattasse della Banti ? altra trappola nella quale altr(e)i sono caduti). Vostra C.

Silence sur le Net ?

Mon Petit Doigt Electronique (un beau nom pour un software!) m'a dit que depuis dimanche soir, au moins 50 personnes sont venues, ont vu, et sont reparties sans laisser de réponse aux questions que je pose dans la précédente poste : qui est le peintre du tableau joint au message? Qui est la personne représentée? Et cependant, directement à mon adresse courriel, hier soir, sous une forme un peu énigmatique mais qui ne laissait aucune place au doute, les bonnes réponses me sont parvenues, merci Pia (merci pour ne pas les avoir publiées dans un commentaire, ce qui fait que the show goes on et je reçois per courriel des messages débordants d'un humour involontaire).
A propos du blog lui-même vous êtes quelques-un(e)s à m'avoir écrit - toujours par l'intermédiaire de mon adresse courriel - que "BRAVO! J'AIME" (ça vient de France ou de Suisse) ou encore que "Brava! mi piace parecchio" (je vous laisse deviner d’où ça vient). Je suis donc portée à croire devant ma boite à courriels pleine et mon blog vide :
1/ que le système des réponses directes sur le blog par le canal des commentaires ne fonctionne pas. Dois-je préciser qu'il ne faut que cliquer sur la parole COMMENTI, un mot du vocabulaire italien certes, mais qui reste compréhensible pour l'ensemble des francophones ayant dépassé l'age de 6 ans.
et 2/ que la courtoisie (ou l'indifférence) de ceux qui n'aiment pas ce blog n'est plus un vain mot. Ai-je l'air si fragile que l'expression écrite (et néanmoins polie et mesurée je n'en doute pas) de votre désaccord me serait insupportable ? Non-non, vous pouvez y aller: "Vieillot, antique, pas de recherche graphique digne de toi (non, pas ça, ce serait presque un compliment...), pas branché pour un centime d'euro (ou encore pour un sou ad libitum) etc, etc.".

Retournons à notre tableau (qui n'a rien d'une bergerade; donc je ne ferai allusion ni aux moutons ni aux brebis). Je donne aujourd'hui 3 nouveaux indices :

- L'artiste qui l'a peint n'étant ni Ingres ni David, est parvenu à un néo-classicisme qui lui est propre (par ailleurs on le qualifie parfois de peintre du rococo tardif…) à travers d'autres maîtres que Joseph-Marie Vien ou Jacques-Louis David lui-même (qui fut le maître de Ingres).

- Je cite un passage (extrait des chroniques de l'année 1790) des Mémoires de notre mystérieux artiste comme on dit dans les pages de jeux des revues de mots croisés:

...Une de mes jouissances (...) à Rome, fut celle d'entendre de la musique, et certes, les occasions ne manquaient pas. La célèbre Banti s'y trouva pendant mon séjour. Quoiqu'elle eût chanté plusieurs fois à Paris, je ne l'avais jamais entendue, et j'eus cette jouissance à un concert qui se donna dans une galerie immense. Je ne sais pourquoi je m'étais figuré qu'elle avait une taille prodigieusement grande. Elle était au contraire très petite et fort laide, ayant une telle quantité de cheveux, que son chignon ressemblait à une crinière de cheval. Mais quelle voix! il n'en a jamais existé de pareille pour la force et l'étendue; la salle, toute grande qu'elle était, ne pouvait la contenir. Le style de son chant, je me le rappelle, était absolument le même que celui du fameux Pachiarotti…

- Le costume de la jeune femme est celui de Zaïre.

Je ne doute plus de recevoir, minimum minimorum, une cinquantaine de réponses. Votre C.

Post-scriptum (c'est le cas de le dire!): on comprend mieux la dernière phrase de l'extrait cité si j'ajoute que le portrait joint à ce post est celui de Gaspare Pachiarotti (1740-1821), l’un des derniers castrats, une voix qui rivalisait avec celles des soprani. On trouve parfois son prénom écrit Gasparo et son nom écrit Pacchierotti. Voyez dans la colonne de gauche pour des articles et des livres sur ce chanteur adoré des romaines et des vénitiemes.

Silenzio nella rete ?

Il Mio Personale Grillo Parlante (bel nome per un software!) mi ha detto che da domenica sera in poi, al meno 50 persone sono venute, hanno visto e se ne sono andate senza lasciare alcuna risposta alle domande che ponevo nel mio secondo post (ripeto: chi ha dipinto il quadro allegato al messaggio? Come si chiama la persona ivi rappresentata e qual’era il suo mestiere?). Ieri sera però, nella mia casella di posta elettronica, mi è pervenuto un messaggio pure enigmatico. Ma non ho avuto dubbi: Pia conosceva le risposte giuste! Grazie Pia per non avere mandato un commento, lasciando che l’enigma rimanesse intero ancora per un poco: and the show goes on.

A proposito di questo blog, alcune(i) di voi mi hanno scritto direttamente che « BRAVA, MI PIACE PARECCHIO » (questo dall’Italia ovviamente) e che « BRAVO ! J’AIME BIEN! » (vi lascio indovinare da dove…). Devo dunque convincermi:

1/ che il sistema delle risposte dirette sul blog (i cosìdetti “commenti”, sotto ogni mio messaggio, da clicare per comunicare con me, rispondere al post, ecc.) non funziona.

e 2/ che la cortesia (oppure l’indifferenza) di chi non apprezza questa mia fatica ha raggiunto una vetta. Appaio così debole che la lettura di un vostro giudizio negativo mi risulterebbe insopportabile? No-no! Potete sfogarvi: “è troppo antiquato, non un briciolo di modernità, niente grafica degna del tuo curriculum (no, questo no: sarebbe quasi una lode)” e così via stroncando energicamente (con garbo però, mi raccomando) questo mio tentativo…

Torniamo all’enigma, torniamo al Nostro Quadro, al Nostro (pittore), e al nostro soggetto: oggi, sentendomi in vena di generosità, vi offro tre nuovi indizi:

- il pittore non è Ingres, non è Jacques-Louis David (metto il nome per differenziarlo da David d’Angers), non ha avuto come maestro né Vien (fu il caso di David) né David (come Ingres). Sua maniera - per me alquanto neoclassica ma non sono un critico d'Arte - è chiamata da alcuni critici di tardo rococo.

- ora vi propongo un passo del suo diario (dall’anno 1790):

“…Uno dei miei godimenti (…) a Roma, fu quello di sentire della musica, e di certo gli occasioni non mancavano. La famosa Banti vi si trovava durante il mio soggiorno. Benché lei abbia ripetutamente cantato a Parigi, non l’avevo mai sentita ed ebbi questo godimento a un concerto che si diede in una stanza immense. Non so perché me la immaginai di un’altezza prodigiosa. Al contrario, era piccolissima e molto brutta, avendo una quantità di capelli tale che la sua crocchia assomigliava alla crinera di un cavallo. Ma la voce! Non fu mai una simile per la potenza e per l’estensione della tessitura; la sala, per vastissima che fosse, non la poteva contenere. Lo stile del suo canto, me lo ricordo, era esattamente lo stesso di quello del celebre Pachiarotti…”

- il costume della donna dipinta è quello che adoperò nel ruolo di Zaire.

Ora non dubito di ricevere un sacco di risposte, per lo meno 50. Vostra C.

Postscriptum: si capisce meglio la fine della citazione se aggiungo che Pachiarotti (1740-1821) fu uno degli ultimi castrati. Il suo nome si trova riferito tal volta Gaspare, tal altra Gasparo. Il suo cognome si trova anche scritto con la grafia Pacchierotti. Vedete nella parte sinistra dello schermo, i riferimenti per alcuni articoli e libri su questo cantante.

domenica 22 giugno 2008

De qui donc est-ce le portrait? Qui l'a peint?

L'image qui illustre la section "informazioni personali" - appelons-la mon avatar - n'est qu'un détail d'une esquisse préparatoire au tableau que je joins à ce texte. Bien que réduit, le tableau vous apparait maintenant dans son entier. Vous ne pourrez pas analyser le coup de pinceau, la main du peintre, mais je vous donnerai des indices... jusqu'à ce qu'un visiteur rusé, obstiné et/ou cultivé, en découvre et nous en dise l'origine, le sujet et l'auteur.
Premiers indices.
Regardez le costume de notre sujet. Il est plus théâtral que princier: le long shawll (c'est ainsi que l'on écrivait le mot châle jsuqe vers 1830) de cachemire rouge amarante et le turban assorti étaient certes à la mode dans les années du Consulat mais le voile qui s'en échappe, et le décor même avec ses amples draperies, ont quelque chose de scénique. Un autre indice: le mouchoir que la jeune femme tient dans sa main gauche.
Enfin, deux ou trois choses sur son peintre: artiste célèbre à son époque et encore aujourd'hui; de nationalité française; a fait de longs voyages en Europe pour des raisons politiques, peignant les grands de ce monde à Naples, Rome, Milan, Vienne, Moscou, Berlin, Londres... et j'en oublie... volontairement. Alors? Votre C.

Ecco il ritratto di... ? E chi l’ha dipinto?

L’immagine cha appare nella sezione "informazioni personali" - chiamiamola il mio avatar - non è altro che l’abbozzo del quadro che ho aggiunto a questo secondo post. Il quadro appare intero ma ridotissimo cosìche non potrete giudicare dalla mano e dalle pennellate. Vi darò alcuni indizi… sperando nella furbizia, l’ostinazione o/e la cultura di qualche visitatore che inserirà nel suo commento il nome della persona rappresentata e quello del pittore…
Ecco: per prima cosa, guardate attentamente l’abbigliamento della giovane donna. Il lunghissimo shawll di cachemire (di colore tra il mattone e l'amarante) e il turbano andavano molto di moda durante gli anni del Consolato (1799-1804) ma il velo che scende dall’acconciatura e il scenario maestosamente drappeggiato alle sue spalle non vi sembrano alquanto teatrali? Un altro indizio (ne sono generosissima) è il fazzoletto che la donna tiene nella mano sinistra.
Chi a dipinto questo quadro era francese, celeberrimo a suo tempo (ed anche oggi); ha dovuto (per ragioni politiche) allontanarsi dalla Francia. Ha dipinto le celebrità di Napoli, Roma, Vienna, Mosca, Berlino, Londra… e non vi dò l’elenco completo… intenzionalmente. Dunque? A voi. Vostra C.

Mon premier courrier...

Mon premier courrier sera dédié à Elisa Bonaparte... dont vous voyez à droite le portrait en pied par le peintre Guillaume Guyon-Léthières. Elisa, soeur de Napoléon Bonaparte, ne vécut pas que de bals et de représentation; elle gouverna 4 territoires italiens: Piombino, Lucques, Massa et Carrara, la Toscane. J'ai travaillé presque un an sur la biographie d'Elisa, sur l'histoire de son gouvernement et je n'ai pas fini. Mais il me faut le temps d'écrire quelques synthèses ad usum bloggum. Je ne veux pas vous noyer... dans les milliers de pages de ma doc. Bon, j'écrirai des textes courts ou longs et vous m'en direz des nouvelles par post(e). Allez ! ce ne sera pas si long...
Le rapport avec le théâtre ? Tout ce travail c’est pour une pièce qui réunit théâtre musique et danse et dont Elisa sera - si j'arrive au bout - la protagoniste... avec Paganini et d'autres - moins connus - dont je vous parlerai aussi... je sens que ce sera long. Et pourquoi Paganini ? Je ferai une poste sur Elisa et Paganini. Et encore: l'histoire du tableau de Guillaume Guillon-Léthières n'est pas inintéressante… des informations ?
des commentaires ? J'espère qu'on n'a pas fini de se lire réciproquement. C.

Primo messaggio…

Questo primissimo messaggio del mio primo blog è dedicato ad Elisa Buonaparte… di cui, sopra, potete vedere il ritratto col Grande Vestito di Corte, eseguito dal pittore Guillaume Guyon-Léthières. Elisa, sorella di Napoleone, non visse solamente di balli e di rappresentanza ufficiale. Fu al governo di 4 territori italiani: Piombino, Lucca, Massa-Carrare e la Toscana. Ho lavorato per quasi un anno sulla biografia di Elisa e sulla storia del suo governo e non ho finito. Mi ci vuole però, per dirne qualcosa in questo blog, il tempo di scrivere alcune sintesi ad usum bloggum. E non voglio che affoghiate nelle migliaia di pagine della mia documentazione ! Va bene, scriverò testi lunghi o corti, illustrati con immagini e suoni - fin che posso - e vi pregherò di lasciare i vostri commenti. Non passerà tanto tempo fino al successivo post…
Un rapporto con il teatro ? Tutto questo lavoro di documentazione e comprensione dell’anima di Elisa e del suo entourage lo faccio per elaborare il testo e la regia di una sceneggiatura che riunirà testo, musica e danza e di cui ovviamente Elisa sarà protagonista con… con Paganini e con altri personaggi meno conosciuti di cui vi parlerò, vi scriverò… perché Paganini? Farò un post su i rapporti tra Elisa e Paganini. Tanto è stato affermato a questo proposito… e tanti pettegolezzi… Ed ora che ci penso, il pittore, Guillaume Guillon-Léthières ha anche lui una storia molto ma molto interessante. Non fatemi mancare le vostre informazioni, i vostri commenti. Ah ! Sento che non abbiamo finito di leggerci a vicenda. Vostra C.