mercoledì 20 agosto 2008

Voltaire et les J.O. (encore la Chine, toujours la Chine, déjà la Chine)


Je viens apporter de l'eau au moulin de l’actu… pardonnez-moi si j'y nage à contre-courant... (il faut ramer, c’est dur).

Le politiquement correct a encore frappé, et aussi, dialectiquement, le politiquement incorrect... à tout moment en ces temps cahoteux on me rappelle qu’il faut haïr la Chine, se méfier
de la Chine, condamner la Chine et si négligemment je jette un coup d’œil sur l’agenda de ceux qui construisent cette hantise je m’aperçois que les mêmes organismes et interlocuteurs (trices) ne travaillent quasiment qu’à « établir et renforcer les liens entre l’Europe (La France, l’Italie, etc.) et la Chine ». Que faire ? Rire ? Pleurer ? Craindre ? Ignorer ? Se dire que ça passera ?

On peut au moins sourire en se remémorant un moment privilégié pour la formation de la pensée européenne, décisif pour l'histoire des européens ( et de la planète ?) : le 18ème siècle, le siècle peut-être le plus lumineux de notre Histoire, et la place que la Chine occupe dans la pensée des Lumières.

Les Chinois, athées, disent alors les philosophes qui les donnent en exemple, jouissent d'une civilisation née avant l’antiquité païenne - et bien avant le Christ - avec des lois, des institutions, une justice, des arts, des techniques, une morale. Ne pouvait-on pas en conclure, puisqu’on les peignait comme sociables, polis, savants, équitables, que le monde pouvait exister sans la religion? Et surtout que la Morale pouvait durablement exister sans religion fondée sur le dogme du péché originel. La Chine, sans le savoir, fournit alors des arguments contre les théologies chrétiennes qui fondent la valeur de l’homme sur son seul rapport avec le divin et sur son respect des règles religieuses.

Au premier rang de ces philosophes on trouve Voltaire (qui n'est pourtant pas athée mais déiste, parfois il se dit théiste) qui, ayant fait de sa capacité critique vis à vis de l’Europe son critérium, a recours à l’Empire du Milieu pour mieux illustrer sa pensée. Il oppose le fanatisme des guerres de religion qui furent pendant des siècles le cancer de l’Europe (au milieu du 18ème siècle on tuait encore les protestants en France au cours d'une guerre d'extermination qui dura de 1685 a 1758 et qu'on appela "Les Dragonnades") à la tolérance des empereurs chinois qui reçurent longtemps les missionnaires catholiques sans censurer ni leur pensée ni leur action missionnaire.

Voltaire n'a rencontré qu'une seule fois des chinois et il n'en connait pas la langue mais il se considère lui-même un sinologue fort expérimenté. Il écrira souvent sur le thème de la Chine. Il commence véritablement à s'en occuper lorsqu'il rédige son Siècle de Louis XIV, à propos de la question de la présence des misionnaires chrétiens en Asie mais c'est en 1755 par une pièce de théâtre qu'il intitule L'Orphelin de la Chine qu'il le traite artistiquement. Il est bon de préciser que la Chine était devenue à la mode plusieurs décennies auparavant, grâce au théâtre italien à Paris : déjà en 1601 (suite à la réception d’une ambassade chinoise ?) on joue et danse à la cour un Ballet des Princes de la Chine qui fait un tabac… Suivent quelques arlequinades chinoisées ça et là pendant le règne de Louis XIV et sous la Régence; en 1752 la troupe italienne établie à Paris présente « L’Eroe cinese » (le héros chinois) d'après une oeuvre de Pietro Metastasio, une pièce dont Voltaire se souviendra pour écrire l'Orphelin, et une comédie, « La Schiava cinese » (l'esclave chinoise) de l'abbé Chiari (rival de Goldoni à Venise) suivies par un « Chinese rimpatriato » en 1753 qui fut immédiatement traduit en français par « Le Chinois de retour » représenté à peine séchée l'encre de la traduction. En 1754 deux pièces en français sont encore données à Paris : « Les Fêtes chinoises » et « Le Chinois poli en France ». Notons que le chinois est poli, vertu que dans l’esprit des européens il conservera tout en l’associant habilement plus tard à la fourberie et à l'hypocrisie. Mis à part le Héros Chinois, Il ne s’agit là que de comédies et de farces bien sur, rien de sérieux jusqu’à ce que Voltaire s'y mette. (Ceci pour dire… et selon ce que l’on entend par "sérieux"… !)

L’orphelin de la Chine, créé à la Comédie-Française le 20 août 1755, est, clairement, une tragédie. Une de ses particularités est qu'il s'agit d'une tragédie qui finit bien. En fait il s'agit d'une oeuvre de propagande pour la philosophie voltairienne. Que le sujet se veuille aussi exotique n’est qu’un hommage que l’écrivain rend à l’insatiable curiosité de ses contemporains pour un «ailleurs» toujours changeant, en renouvelant une opération de succès qui date de 1721: les Lettres, théoriquement Persanes, de Montesquieu Le dramaturge s’inspire très ouvertement - il signalera cet emprunt dans l’Avertissement à l’édition de sa pièce - d’une pièce chinoise populaire dans l'empire asiatique intitulée L’orphelin de la famille Zhao de Ji Jun Xiang (XIIIe - XIVè siècle). Une traduction française par le Père Prémare, Jésuite, en avait été publiée, insérée dans La Description de l'Empire de la Chine et de la Tartarie chinoise du Père Jean-Baptiste Du Halde - autre jésuite - parue en 1735 (ce fut à peu près le seul livre véritablement documentaire consultable à cette époque sur la Chine) . L’exotisme, moins que sur la peinture exacte des mœurs dont Voltaire ignore à peu près tout, se lira dans les décors et les accessoires de scène ainsi que dans les costumes de l’actrice Clairon et de l’acteur Lekain, les deux monstres sacrés du théâtre de l’époque. La Clairon dans le ròle d'Idamé abandonne les robes à paniers et Lekain pour incarner Gengis Khan revêt un costume mongol; les deux initiatives font. à la lettre, sensation (voir un aperçu des costumes sur illustration d'époque, supra) Il faut dire que l’insistance de Voltaire pour obtenir du théâtre des « costumes tartares » avait de solides raisons d’être; le succès obtenu généra une révolution artistique, orientée vers un certain vérisme de la scénographie, qui après s'ètre opérée en France, gagna l’Italie et l’Angleterre.

Et le texte ? Et la trame ? Rien de bien chinois en vérité… Voltaire adapta l’original qu’il comparait aux « farces monstrueuses de Shakespeare et Lope de Vega » modifiant l'action à son gré et la déplaçant au temps de la prise de Pékin par les Tartares en 1215. Gengis Khan ayant résolu d’exterminer la dynastie vaincue en en massacrant le dernier rejeton, sauvé par le mandarin Zamti et son épouse Idamé qui l’ont substitué à leur propre enfant. Mais, le subterfuge découvert, tous sont condamnés à mort. Gengis reconnaît alors en Idamé celle qu’il a aimée en vain autrefois. Il la somme soit de se donner à lui soit de périr avec toute sa famille. Au moment où elle va se donner la mort, Gengis intervient. Gagné par tant de grandeur d’âme, il pardonne : «-Qui peut vous inspirer ce dessein ? -Vos vertus.». Voltaire achève sur cette note positive une tragédie destinée à illustrer le triomphe de «la supériorité naturelle que donnent la raison et le génie (c'est à dire lui, Voltaire) sur la force aveugle et barbare». La civilisation chinoise y est louée pour la haute moralité qu’elle puise dans le confucianisme, c'est à dire pour l'auteur dans la raison, la sagesse et la tolérance. Le baron de Grimm et Diderot démoliront la pièce mais peu importe à Voltaire : sa philosophie du progrès humain qui mise sur le laboratoire social toujours actif, s'enrichit d'une oeuvre nouvelle et celle-ci jouit d'une immense popularité...

Car en réalité, plus qu’une querelle littéraire avec les Encyclopédistes, plus qu'une confrontation de nature théologique avec le Pape ou avec les pasteurs de Genève, Voltaire en cette période fait ses délices et son tourment d'un tout autre combat. Il jette ses forces dans un débat philosophique avec Jean-Jacques Rousseau (ou plutôt avec la philosophie de Rousseau dont il mesure les dangers qui découlent de sa nature utopique), débat qui deviendra bientôt une querelle personnelle non dépourvue de cruauté des deux côtés... mais que pour l'instant le futur Patriarche de Ferney mène à sa façon: joyeuse, spirituellement féroce et non dépourvue d'élans généreux. L’Orphelin... répliquait ainsi avec éclat aux paradoxes agaçants de l’auteur de la théorie de la vertu et de la bonté naturelle de l’homme… la première édition de la pièce sera accompagnée d’une lettre, savant mélange de raison et d’ironie, où Voltaire remercie sarcastiquement l’auteur du Discours sur l’inégalité... de son «nouveau livre contre le genre humain».

Les comédiens italiens bàtiront et joueront très vite, en mars 1756, une parodie de l’Orphelin... sous le titre Les Magots, écrite par un auteur qui resta anonyme car Voltaire était plus ou moins en exil et vivait entre Genève et Lausanne mais il gardait à Paris des amis très puissants. La satyre eut aussi un certain succès. Au vu de ces succès (la pièce voltairienne fut jouée jusqu’en mars 1756) tous les théâtres de Paris se sentirent enclins à exploiter l'enthousiasme du public pour cette lointaine civilisation et on enverra dans l'Empire du Milieu - virtuellement bien sur – jusqu’au pauvre Arlequin qui n'y comprendra rien de rien et parfois la prendra pour la Perse. La Chine ne disparaitra des scènes françaises qu’avec le Premier Empire.

Voltaire écrira par la suite, sur la civilisation chinoise et sur la morale confucéenne, des Dialogues et des articles pour le Dictionnaire Philosophique, donnant le coup d’envoi à une vénération passagère - qu’il aurait bien voulue éternelle et universelle - pour la sagesse de celui qu'il nomme "le Socrate chinois" et qu'il admire comme moraliste. Pendant des années Paris, la France, l’Europe ne débattront que d'écrits philosophiques qu'en réalité quasiment personne ne connaît sinon à travers des traductions partielles et approximatives; encore moins sérieusement on se déguisera à la chinoise, tartare, mongole... (ou ce qu'on croit l'être); les décors des tables, des chambres, des maisons deviendront chinois, une architecture de jardin chinoise envahira les demeures princières anglaises, russes, danoises, françaises, les fabriques de porcelaine européennes copieront sans relâche les pièces importées de Chine...
Pour l'opinion européenne, pendant presque un siècle les chinois seront le peuple de la plus libre pensée! Personne n'écoute le philosophe grondeur, le pauvre Jean-Jacques Rousseau sans fortune et parfois sans moyens pour diffuser sa réflexion, qui, en 1761, dans son roman La Nouvelle Héloise, par la bouche du protagoniste Saint-Preux traite les chinois de barbares hypocrites voués à un esclavage éternel... Cette réponse à l'enthousiasme sinologique de Voltaire passera bien sur inaperçue.
Est-il besoin de documents authentiques pour philosopher ? Voltaire, c'est tout à son honneur, tente de se renseigner à des sources multiples, cherche sur les moeurs et sur les institutions chinoises des détails vrais. Mais une fois épuisées les publications de ceux qui ont voyagé et séjourné en Asie, le fond documentaire se révèle assez maigre, le débat s’essouffle et les philosophes de l'Encyclopédie, pour se départager, font appel au Pape.
Au Pape ? Miséricorde ! Aux ressources du Vatican plutôt. C’est que l'Eglise catholique a eu longtemps à faire avec la Chine (on ne peut parler d'expertise car les rapports du pape avec l'empereur se sont achevé piteusement pour l'Eglise). Depuis des siècles ses envoyés plus ou moins officiels se sont familiarisés avec l'Asie. Les archives conservent des documents, lettres et compte-rendus expédiés par les missionnaires jésuites dès leur arrivée en Chine - Saint François Xavier débarqua à Goa le 6 mai 1542. Les jésuites deviendront rapidement les véritables experts de la Chine et de l'Asie. Les problèmes commenceront lorsque d'autres ordres missionnaires voudront s'en mèler. Il faudra à l'Eglise catholique romaine un demi-siècle - qui fut aussi un demi-siècle de patience de la part des chinois – pour NE PAS régler la querelle qui opposa, de 1645 environ jusque vers 1715, l’ordre des Jésuites aux missionnaires de différents ordres (surtout Dominicains) tous concurrents dans la course à la christianisation de la Chine. L’enjeu apparent c’est le laxisme des jésuites qui à tort ou à raison considèrent christianisés des sujets qui continuent à pratiquer d’antiques rituels funéraires. A cette permissivité s'oppose la rigueur théologique. le rigorisme des autres missionnaires qui voudraient faire condamner (et pouvoir interdire) ce qu'ils nomment des rituels paiens. L’enjeu réel est ailleurs, bien sur, dans une lutte d’influence au sein de l’Eglise Catholique qui a aussi son terrain en Europe. Les Dominicains ne se feront pas faute d'assigner le Jésuites devant le Tribunal de l'Inquisition à Rome et l'affaire comparaitra de nombreuses fois devant ce tribunal. Elle se terminera momentanément vers 1724: les empereurs chinois, mis en cause en 1705 (à leur grande surprise) dans la querelle et excédés par ces disputes auxquelles s'ajoutent l'arrivée sur leur territoire de missionnaires de plusieurs autres religions chrétiennes, finissent par interdire à tous les missionnaires chrétiens de résider en Chine. Une exception sera faite à Macao où le tigre chinois donne son consentement à la présence d’un gouverneur portugais et d’un évêque catholique. Une innombrable documentation sur cette interminable affaire gît dans les archives vaticanes, documents qui contiennent aussi des informations précieuses sur ce pays mal connu. Hélas, les philosophes français n'y auront pas accès, ils devront se contenter des livres pubbliés par les Pères Jésuites et par quelques commerçants anglais et hollandais. Voltaire qui dispose à Ferney d'un Jésuite qu'il entretient généreusement, le Père Adam - devenu son souffre douleur et son partenaire aux échecs - ne s'y résignera qu'avec peine.

Au dix-neuvième siècle les européens, versatiles, se laisseront convaincre de l'arriération de la Chine par les tenants d'un colonialisme planétaire qui ne s'embarrassait pas du Confucianisme. Les Chinois s'étant révélés de redoutables concurrents commerciaux, il faut les devancer en les dévalorisant. La Guerre de l'Opium, suscitée par la convoitise mercantile de l'Occident, contribue largement à cette dévalorisation. Notons au passage - car il serait facile de l'oublier - que Voltaire visait à rendre ses compatriotes plus tolérants et capables de concevoir un partage des richesses nationales (qu'il se donna la peine de concrétiser à Ferney) alors que le Parti colonial avait exactement le désir contraire: celui de faire des français un peuple d'exploiteurs impitoyables au détriment d'autres peuples qu'il était permis - et même conseillé - de haïr. (Ah, Monsieur Voltaire, décidemment je vous adore avec tous vos défauts )

Changeant de maîtres à penser, la France changera immanquablement d’opinion sur la Chine: Voltaire la voulait un phare de tolérance? Il avait les moyens intellectuels et artistiques d'imposer son opinion et l'Europe a vénéré la Chine. Les chefs du Parti colonial un siècle plus tard se sont donné les moyens de nous la faire mépriser. Les temps de la lutte et du règne de Mao ont vu toute l’avant-garde intellectuelle de l’Europe devenir Pro-chinoise… Pourquoi veut-on aujourd'hui nous la rendre insupportable et nous la faire condamner en bloc ? La modernisation de la Chine n’est pas terminée mais, vue par le moyen de la lorgnette de l'historien, elle sera de toute façon beaucoup plus rapide (pas encore un siècle depuis la chute de l'empire chinois en 1911) que ne le fut la nôtre.

Mon point de vue (qui va outre le politiquement correct et le politiquement incorrect qui n’est pas son contraire, en essayant de s'attacher à leur vrai contraire c'est à dire au non-politique, au combat civil et citoyen) ne néglige aucune des raisons ni des occasions de se rebeller contre toute répression des pensées qui oeuvrent pour l'Amour de l'Humanité et le Respect de la Terre (vous aurez noté les majuscules, j'espère):

Il y a autant de raisons d'aimer les chinois que d'autres peuples. Tout comme de les détester. Il me semble utile de refuser de les haïr. J’entends trop souvent à mon gré dire qu’ils sont félons, menteurs, cruels, hypocrites et dangereux et en ce moment particulier se multiplient les voix que dans telle ou telle épreuve olympique tous les moyens leur sont ou leur furent bons pour emporter une médaille. Je refuse bien entendu de considérer une médaille comme une marque de supériorité (qu'elle soit limitée à l'individu ou étendue à sa nation). Leur nombre ne m'impressionne pas. J'ai autant de raisons d'aimer athlètes et équipes russes (j'ai d'excellent(e)s ami(e) s russes dans l'orchestre de Moscou et n'est-ce pas une raison suffisante pour les soutenir passionnément ?) et de désirer leur victoire sur les athlètes et les équipes adverse... que de désirer la victoire des équipes chinoises, françaises, italiennes, mongoles, algériennes, hawaïennes, etc. ad libitum, il y a le choix. Mais j'ai encore plus de raisons de les détester toutes et tous car TOUTE compétition me gonfle, où quand et comment que ce soit qu'elle puisse ou veuille s'exercer.

Quand aux gouvernants chinois, responsables isolément et /ou en groupe d’un certain nombre d’actes barbares et peut-être légaux selon les lois en vigueur (Ah ! Rousseau…), partant du principe que le pouvoir rend fou, je les mets dans le même sac que quelque homme ou femme politique au pouvoir que ce soit (plusieurs d'entre eux ont d'ailleurs une responsabilité partagée avec le gouvernement chinois au regard des actes les plus cruels) en admettant, cas extrêmement rare, que le dit gouvernant n'était pas déjà fou avant d'arriver au pouvoir ou - pour mieux dire - avant de prendre le pouvoir.

On peut faire, si l’on veut, à l’intérieur de la catégorie, des distinctions nosologiques, nosographiques et/ou nosotaxiques.
Bien à vous toutes et tous, olympiquement.
Votre Claire

Références littéraires: sur Voltaire elles sont innombrables. Je n’essayerai même pas d’en faire la liste dans une bibliographie. De tous les livres que je connais je recommande comme biographie le livre Voltaire ou la royauté de l’esprit par Jean Orieux, un livre de 1966 régulièrement réédité par Flammarion y compris en Poche. Documentée, divertissante, mozartienne, cette chronique d'un succès construit ne cèle ni les défauts ni les qualités de cet enfant amoureux de la célébrité (disait Sainte-Beuve) qui fut avant tout un travailleur hors du commun, obsessif et acharné.
Et sur le sujet de cette poste, de Song Shun-Ching, un livre qui est une somme sur la sinologie voltairienne, Voltaire et la Chine , éditions des Presses Universitaires de Provence, 1989.
Bonne lecture d'avant-rentrée...

2 commenti:

Anonimo ha detto...

Voltaire et la Chine... puoi tradurre Claire ? anche Ifigenia, e la didascalia del quadro. Vacanze ?

Anonimo ha detto...

Scusi... sono Paolo d.l.C. Non sono account Google o Blogger o non so cosa... dunque ANONIMO! Paolo

Ho trovato il Cid di Eugenio M. e LO STUDIO; grazie bella...